Bureau Arménien de Voyages

Tour opérateur en Arménie

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Arménie Géographie

    La Géographie d'Armenie

    Les informations générales
    L'Arménie actuelle occupe un territoire de 29.74 mille kilomètres carrés ce qui ne représente que le dixième de l'Arménie historique. Son altitude moyenne au-dessus du niveau de la mer fait 1800 mètres, le point le plus haut est le sommet de la montagne Aragats - 4090 mètres, le plus bas - la gorge de la rivière le Débet - 380 mètres. La plus grande étendue du nord-ouest au sud-est mesure 360 kilomètres, de l'ouest à est, 200 kilomètres.

    Ce n’est qu’une petite partie du plateau Arménien, dont le territoire atteint 400 mille kilomètres carrés, et l’altitude moyenne fait 1700-1800 mètres. Le plateau arménien est situé dans les chaînes de montagnes Alpins et Himalayens.

    Le point culminant du plateau Arménien – le Grand Ararat (Masis) à la hauteur de 5165 mètres, se trouve aujourd'hui sur le territoire de la Turquie. Son âge géologique - près de 3,5 millions d'années. À côté de lui se trouve le Petit Ararat (Sis, 3925 mètres). Il a près de 150 mille ans. Les montagnes de Aragats et Ararat sont des volcans éteints et la base de l’Aragats (8 M. kilomètres carrés) dépasse celle de l’Ararat. Le territoire du plateau Arménien est un des terrains les moins stables de l'écorce terrestre, où surviennent assez souvent des tremblements de terre de la force catastrophique.

    Pendant le seul XX° siècle sur le territoire de l'Arménie ont eu lieu six grands tremblements de terre. Le dernier – celui de Spitak, a eu lieu le 7 décembre 1988. Selon les statistiques officielles, ont péri 25 mille personnes, près de 500 mille sont restées sans abri. Des dizaines des localités ont été entièrement détruites. La structure complexe du relief, caractéristique pour tout le territoire de l'Arménie moderne, donne à ses paysages leur charme spécial. Plus de trois mille kilomètres de chaînes de montagnes bordent l'Arménie, en occupant 47 pour-cents de tout le territoire de la République. Le relief de montagnes rends l'agriculture difficile à pratiquer.

    Les plus hauts sommets de montagnes:
    Aragats - 4090 mètres au-dessus du niveau de la mer (le plus haut)
    Kapoutjour - 3906 mètres au-dessus du niveau de la mer
    Ajdahak - 3598 mètres au-dessus du niveau de la mer
    Spitakasar - 3555 mètres au-dessus du niveau de la mer
    Vardenis - 3522 mètres au-dessus du niveau de la mer

    Les principales rivières de l'Arménie:
    Arax - sur le territoire de l'Arménie 158 km (la longueur totale 1072 km)
    Akhourian - sur le territoire de l'Arménie 186 km
    Vorotan - sur le territoire de l'Arménie 119 km (la longueur totale 179 km)
    Debet - sur le territoire de l'Arménie 152 km (la longueur totale 178 km)
    Hrazdan - sur le territoire de l'Arménie 141 km
    Aghstev - sur le territoire de l'Arménie 99 km (la longueur totale 133 km)

    Les principaux lacs de l'Arménie:
    Le lac de Sevan - la surface du miroir - 1239 km², l'altitude de 1898 mètres
    Arpi - la surface du miroir - 22 km², l'altitude de 2025 mètres
    Akna - la surface du miroir - 0,53 km², l'altitude de 3030 mètres
    Sev - la surface du miroir - 2,0 km², l'altitude de 2666 mètres

    Information historique
    Selon le témoignage de l'ancien historien arménien Moïse de Khoren (IV° - V° siècles) l'Arménie antique se divisait en Grande Arménie et Petite Arménie, entre les deux passait le fleuve Euphrate. La grande Arménie était bordée au nord par l'Albanie, Iberie, Kolkhida, Trapezound; au sud: par la Syrie, la Mésopotamie et l’Assyrie; à l'est: par la Perse et la mer Caspienne; à l'ouest: par la Petite Arménie. La petite Arménie était bordée au nord par Pontes et Cappadoce Polymonique, au sud: par la Syrie et la Cilicie, à l’est: par la Grande Arménie et vers l'ouest avec Cappadocie même.

    La petite Arménie comprenait les Arménies: Première, Deuxième et Troisième; par la suite y furent jointes la Cilicie et une partie de la Syrie du nord. Sous la pression de Rome, l'Arménie Quatrième fut séparée de la Petite Arménie et jointe à la province romaine de la Mésopotamie.
    La grande Arménie comprenait 15 provinces, chacune se divisait en circonscriptions portant les noms des plus grandes villes. Ainsi, la province Vaspourakan comptait 36 circonscriptions.

    La position géographique de l'Arménie était très confortable: elle était quasiment le pont liant l’Est et l’Ouest. Un beau climat permettait de cultiver des céréales et des plantes industrielles et de cultiver des jardins; petits et gros gibiers abondaient dans les bois. Dans les villes prospéraient l’artisanat et le commerce. Mais la position si avantageuse de l'Arménie attirait vers elle de nombreux conquérants. C'est pourquoi les frontières de l'Arménie Ancienne subirent de fréquents changements, et les Arméniens durent cultiver de nouvelles terres.

    Le paysage
    L'Arménie est un pays montagneux (environ 90% de son territoire se trouve sur une hauteur de plus 1000 m au-dessus du niveau de la mer). Elle est située dans la partie nord-est du plateau Arménien mais, du nord à l'est elle est entourée des chaînes de montagnes du Petit Caucase. La partie centrale du pays est longée par une série de chaînes de montagnes volcaniques légèrement entrecoupées de hauts plateaux et des massifs thyroïdes. Dans cette ligne il y a une multitude de cônes des volcans éteints. On rapporte à l’époque des massifs thyroïdes les plus hauts sommets de montagnes – Aragats (4090 m), Azhdahak (3597 m) et Vardenis (3522 m). Les rivières, remontant sur les massifs thyroïdes, ont élaboré de profonds canyons.

    Au nord et au sud-est prédominent des montagnes de hauteur moyenne divisées en blocs par le réseau épais des vallées. Plusieurs d’entre eux présentent des gorges profondes. L'Arménie du sud-ouest se trouve dans la lisse plaine de l’Ararat, dont la surface est formée par des sédiments alluviaux.

    Le territoire de l'Arménie se situe dans une zone jeune de la chaîne alpine, où continue le processus de formation des montagnes comme en témoignent les nombreux tremblements de terre (à Leninakan: 1926, Zangezour: 1931, Erevan: 1937 et celui de Spitak, particulièrement destructeur, survenu en 1988).

    Les minéraux
    Le sous-sol de l'Arménie est riche en minéraux. Sur le nord et l'est du pays il y a de riches gisements du minerai de cuivre (Alaverdi, Kapan); au sud, de la molybdène (les gisements de Dastakert); dans les régions centrales et du sud-est, du minerai de fer (les gisements de Hrazdan et Abovian), au nord à Akhtala et au sud-est à Kapan des gisements des minerais polymétalliques. En outre il y a des stocks industriels d'aluminium néphélinique des syénites, ainsi que la baryte avec l'addition de l'or et l'argent, le gisement de plomb, de zinc, de manganèse, d'or, de platine, d'antimoine, de mercure, d'arsenic.

    Il y a également des métaux rares sur terre comme le bismuth, le gallium, l’indium, le sélénium, le thallium, le tellure, le rhénium. Les tufs (orange, jaune, rose, noir), le marbre, les roches calcaires, dont se composent les montagnes de l'Arménie, sont de belles matériaux de construction et de finition. Parmi les pierres semi-précieuses et ornementales on compte l'agate, le jaspe, l'améthyste, le béryl, le rubis, l'obsidienne, l'onyx, la turquoise. Sont connus près de 7500 1300 sources d’eau minérale plate et plusieurs sont utilisées à des fins de balnéothérapie (Djermouk, Arzni, Dilidjan, Bdjni, Aghveran, Sevan etc.)

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