Bureau Arménien de Voyages

Tour opérateur en Arménie

$
Arménie Villes et villages

    Artashat

    La ville d'Artachat est située vers le Sud-est de la capitale. C'est le centre d'une région avec la population 15 milles. C’est une des plus importantes régions de vignoble de la république. Sur toute la voie des bourgs sont plains des jardins fruitiers et des vignobles à qui suivent les potagers et les champs des cucurbitacées. On arrose la région par l'eau des rivières d'Azat, Metsamor et Hrazdan. On développe ici l'industrie vinicole et des conserveries. Agrandie à la place du petit village Ghamarlou, la ville d'Artashat se prospère et embellit au jour le jour. Ses habitants vivent dans les maisons solides privées et dans les appartements à plusieurs étages entourés des jardins. À Artachat il y a un bon théâtre.

    La ville était construise en 176 avant J.C. et elle est appelé au nom du roi Artashes I. Le géographe grec Strabon (I s.) et l'historien Plutarque (II s.) racontent de cela. Ancien Artachat était située à 10 km vers le Sud-est de l’actuelle ville, sur les collines du Khor Virap, près du village Loussarat. Par rapport de l’ancienne capitale d'Armavir, Artachat avait la position plus avantageuse : les voies commerciales importantes de l’ancien Orient passaient près d’elle, y compris «la route de soie», liant les ports Méditerranéens avec la Chine éloignée. Et ce n'est pas étonnant qu’après un siècle de sa fondation Artachat s'est rendu célèbre, comme une grande riche ville et était surnommée «la Carthage arménienne». Probablement ce nom est conditionné par la légende que l’endroit de la future capitale était soufflé à Artaches par le commandant de l’armée carthaginoise Annibal, qui était en visite chez le roi arménien. Sur la colline était situé le palais royal entouré des remparts; parmi les autres constructions il y avait des temples, l'Hôtel des Monnaies, les ateliers des artisans. À Artachat la culture et l'art du peuple arménien se développaient et ils portaient la grande influence de la culture hellénique.

    Plus de 2000 ans avant là est né le théâtre arménien, où les spectacles passaient en grecque. Le premier dramaturge arménien était le roi Artavazd (le fils de Tigran le Grand). Au front du théâtre dramatique d'Erevan au nom de Soundoukian on a taillé le bas-relief d’Аrtavazd - à l’hommage de ses mérites pour l'art théâtral arménien. S'est gardée une description intéressante faite par Plutarque sur un spectacle, vu dans le théâtre d’Artachat … Parmi les spectateurs étaient les rois arméniens et de parthes qui à cette époque-là étaient des alliés à l’Arménie, et faisaient la guerre contre les troupes romaines (53 avant J.C.). Une fois on n jouait la tragédie d’Evrépide «Les Bacchante» : le messager courant est entré au théâtre et a jeté sous les pieds des rois la tête du général détesté romain Krasse. L'acteur, l'ayant levé, a prononcé les mots de l'impératrice, dont le rôle exécutait : «nous apportons des montagnes les cornes du cerf, tué tout à l'heure pendant notre chasse heureuse…»

    Les troupes romaines deux fois (à 58 et 163 J.C.) détruisirent Artachat, mais la ville s’est levée de nouveau des ruines. Les plus fortes destructions étaient causées à la ville pendant l'invasion des troupes du roi persan Shapuh en 364-368 après JC.

    Après le transfert de la capitale de l'Arménie à Dvin (à la mi du V s.). Artachat s'est dépeuplé.


     

    Support d'information

    Bureau Arménien de Voyages Support d'information